Liste d’articles non exhaustive

1) L'homme qui voulait taxer les robots.

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par Francis MIZIO

publié le 22 mai 1998 à 2h07

https://www.liberation.fr/ecrans/1998/05/22/l-homme-qui-voulait-taxer-les-robots_236981/


Portrait

2) Le forçat de la semaine de quatre joursPour faire passer cette idée et celle des cotisations sociales sur les machines, John Mitchell manifeste un samedi sur deux aux Tuileries.

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par Olivier COSTEMALLE

publié le 2 septembre 1995 à 8h39

Pour aller plus loin :

https://www.liberation.fr/futurs/1995/09/02/le-forcat-de-la-semaine-de-quatre-jourspour-faire-passer-cette-idee-et-celle-des-cotisations-sociale_145150/


3) John Mitchell fait le procès du chômage.

Article réservé aux abonnés

par

publié le 5 décembre 1997 à 15h14

Pour aller plus loin :

https://www.liberation.fr/futurs/1997/12/05/john-mitchell-fait-le-proces-du-chomage_224140/


4) La Semaine Anglaise

 JOHN MITCHELL est un Français dont l’accent révèle d’emblée l’origine britannique. C’est également un passionné qui consacre son temps libre à militer pour la réduction du temps de travail. De Saint-Denis, où il travaille, à Herblay, où il habite, c’est d’abord par cette passion qu’il s’est fait connaître de beaucoup de gens. Il ne compte plus les lettres et autres argumentaires envoyés aux syndicats et aux partis politiques par son association baptisée «4 x 8». Mais, attention, John Mitchell et son ami Jean-Pierre Fléchard, ouvrier du Livre à la recherche d’un emploi, ne sont pas des militants qui demandent le partage classique du travail et des salaires.

L’article 2 des statuts de leur association indique que l’objectif est «de promouvoir la réduction du temps de travail dans un premier temps à 32 heures en quatre jours avec maintien du salaire pour les bas salaires; de revendiquer une cotisation sur chaque robot, ordinateur et système expert; d’organiser des débats contradictoires pour rechercher les causes et les remèdes au chômage; d’aider les échanges d’idées des différents groupes de chômeurs; de réfléchir sur le travail et sa place dans notre société».

Que l’on soit d’accord ou non avec John Mitchell, on est d’abord frappé par sa passion et sa sincérité. Avec humour, il commence par vous dire que c’est malheureux de voir un Anglais se coltiner cette question dans un pays aux traditions de lutte de classes. «Les 35 heures n’ont pas été instituées et la productivité ne cesse d’augmenter. Notre proposition de quatre fois huit heures dans la semaine a le mérite de la simplicité. C’est une même référence pour tous, y compris pour le calcul des droits sociaux. Larguer nos acquis sociaux pour se soumettre à un prétendu impératif économique est une aberration. Si le partage du travail que propose le gouvernement est accepté, il ne restera plus assez de forces pour éviter la casse du Code du travail, la société duale, la fin de la solidarité entre les travailleurs. Ce sera la pauvreté permanente. Alors que le mi-temps et le temps partiel cassent l’idée juste d’un minimum pour vivre, je pense que la réduction du temps de travail est une idée, non de partage, mais d’égalité devant l’accès au travail», affirme John Mitchell.

Mais comment concilier cette semaine de 32 heures avec la question de la durée d’utilisation des équipements? John Mitchell et Jean-Pierre Fléchard estiment que les 4 x 8 développent une logique de loisirs supplémentaires – avec trois jours de repos hebdomadaires – qui peut, en contrepartie, rendre plus acceptable l’idée d’équipes successives ou de chevauchement d’équipes. «Mais les 4 x 8 ne doivent pas donner lieu à des dérapages qui conduiraient à introduire le travail du dimanche», affirment-ils. «Nous nous plaçons dans une logique de réduction globale du temps de travail, un peu comme en 1936, avec des modalités d’application, branche par branche. Conçue de cette manière, la mesure que nous préconisons est juste, républicaine et égalitaire, alors qu’aujourd’hui on dépense, dans une année, quelques centaines de milliards pour créer des emplois, avec encore plus de chômeurs à chaque fin d’année», ajoute Jean-Pierre Fléchard.

Et les salaires dans tous ça? John déclare que revendiquer le SMIC à 7.500 francs par mois revient d’abord à entretenir l’idée de gagner plus chez les travailleurs. Jean-Pierre affirme, au contraire, que cette revendication n’a rien de déraisonnable dans la société ou nous vivons…

Gérard Le Puill.


5) Journal Humanité

17/08/1996

Qu’allez-vous faire de votre samedi en ce pont du 15 août? FSOUL] .

Participer entre 14 h 30 et 16 h 30 au 44e rassemblement d’associations qui refusent de s’accommoder du chômage comme d’une fatalité. 4 x 8 est une association qui milite pour la semaine de quatre fois huit heures sans perte de salaire. Chaque premier et troisième samedi du mois nous tenons un forum au jardin des Tuileries du côté du Louvre. Avec des militants d’AC! de l’APEIS, d’Action-cadres-BTP et autres, nous invitons les passants et les touristes à signer et à mettre dans «l’urne de la colère» un bulletin qui contient des revendications comme la réduction du temps de travail, les transports gratuits pour les chômeurs, la non-dégressivité des allocations de chômage.

.Que répondez-vous à ceux qui vous comparent aux «folles de mai» en Argentine?

A l’exemple de ces mères courageuses qui refusent que l’on oublie leurs proches disparus, nous refusons que l’on cache le chômage en France. Au Tuileries on s’affuble du masque de Jacques Chirac en rappelant ses promesses électorales sur des calicots. Il en repart des photos vers tous les coins du monde.

Gérard le Puill


Zone de Texte:  6) Réforme des retraites. John, seul manifestant à Montval-sur-Loir

Il n’y avait aucun appel à venir manifester à Montval-sur-Loir, jeudi 16 février 2023, mais cela n’a pas empêché John Mitchell, 70 ans, d’exprimer son opposition à la réforme des retraites.

John, en gilet jaune, et son beau-frère, venu lui rendre visite. | OUEST-FRANCE

Publié le 16/02/2023 à 15h59

John, en gilet jaune, et son beau-frère, venu lui rendre visite.

 

John, en gilet jaune, et son beau-frère, venu lui rendre visite. | OUEST-France

 

Jeudi 16 février 2023, à 14 h, John Mitchell était le seul manifestant à protester contre la réforme des retraites. D’origine écossaise, âgé de 70 ans, il est un ancien ingénieur informaticien. Il a fréquenté les meilleures universités d’Angleterre et d’Écosse. Depuis 1980, il vit en France. « Je suis ici en simple citoyen. Je ne suis pas syndicalisé », précise-t-il.

 

Gilet jaune de la première heure

John Mitchell est Gilet jaune de la première heure. « Je suis allé sur les ronds points à Montabon. Je défends aussi l’hôpital de Château-du-Loir afin qu’il reste surtout les urgences. » Selon lui, il faudrait taxer les robots qui remplacent les ouvriers. Il est pour le référendum initiative citoyenneté John « Je ne voulais pas me rendre au Mans. Effectivement, je suis seul, les gens travaillent et puis, c’est les vacances. Mais ma présence est importante. »

Pour défendre l’âge du départ à la retraite, il a déjà participé à cinq manifestations. « Le contact local, c’est très important, entre les ouvriers des entreprises. Il faudrait que les ministres, députés, sénateurs montrent l’exemple pour les retraites », déclare-t-il. Trois personnes sont venues l’encourager. Vers 15 h, John Mitchell a quitté la place.

https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/montval-sur-loir-72500/reforme-des-retraites-john-seul-manifestant-a-montval-sur-loir-c53c651a-ae09-11ed-8480-482b3e39e673


7)

PRéSIDENT de l´association 4 x 8, située à Herblay, John Mitchell a fait un doux rêve : que l´organisation du Mondial accepte une 33e équipe virtuelle. Celle symbolisant les chômeurs. Cause perdue par une poignée d´« illuminés », comme se définissent ces militants, convaincus de l´utilité de la semaine de quatre jours. Pour autant, la lutte contre le chômage reste, pour eux, un travail de tous les instants : tracts, manifs, etc. Aussi John Mitchell s´est-il fait aider : l´informaticien d´origine écossaise a créé un site Internet, à la hauteur de la Coupe du monde (1).

« Nous demandons aux internautes de classer les 32 nations ayant participé à ce Mondial, non pas en fonction des qualités ou du niveau de leurs équipes de foot, mais en fonction de ce que les états font en matière de lutte contre le chômage et de leurs performances en faveur de l´emploi, précise John Mitchell. Nous ne voulons pas que la lutte des chômeurs soit complètement mise sous le tapis. »

En trois semaines, plus de 18 000 connexions ont déjà été comptabilisées. « Le 12 juillet, jour de la finale, nous donnerons le classement des nations avec les meilleurs commentaires », sourit John Mitchell.

Connecté régulièrement sur son micro-ordinateur, le militant informaticien révèle déjà une première tendance : « Evidemment, la France est bien représentée dans le trio de tête. Ce n´est pas étonnant, depuis le lancement des négociations dans les branches professionnelles des 35 heures de travail par semaine. »

En 1995, l´association 4 x 8 s´était distinguée dans la course aux 500 signatures de grands électeurs indispensables à la présentation d´une candidature aux présidentielles. Sans succès. Auparavant, John Mitchell avait émis l´idée de taxer les robots.

(1) Adresse Internet : https://wwwperso.hol.fr/-jimitche

HERBLAY, HIER, 10 H 30. Président de l´association 4 x 8, John Mitchell invite les internautes à classer les 32 nations du Mondial, au regard de ce que les Etats réalisent en faveur de l´emploi.

https://www.leparisien.fr/val-d-oise-95/john-lance-le-mondial-antichomage-sur-internet-07-07-1998-2000148668.php

 

 

 

 


 

8) Les militants antichômage

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par

publié le 15 février 1997 à 21h29

Pour aller plus loin :

https://www.liberation.fr/futurs/1997/02/15/les-militants-antichomage_196850/

https://www.facebook.com/100072114190231/

Interview

9) EMPLOI - FORMATION. «4 x 8 h sinon rien». L'informaticien John Mitchell se bat activement pour la semaine de 32 heures.

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par Olivier COSTEMALLE

publié le 22 septembre 1997 à 8h07

Pour aller plus loin :

https://www.liberation.fr/futurs/1997/09/22/emploi-formation-4-x-8-h-sinon-rien-l-informaticien-john-mitchell-se-bat-activement-pour-la-semaine-_214004/?redirected=1


Portrait

10) Le forçat de la semaine de quatre joursPour faire passer cette idée et celle des cotisations sociales sur les machines, John Mitchell manifeste un samedi sur deux aux Tuileries.

Article réservé aux abonnés

par Olivier COSTEMALLE

publié le 2 septembre 1995 à 8h39

Pour aller plus loin :

https://www.liberation.fr/futurs/1995/09/02/le-forcat-de-la-semaine-de-quatre-jourspour-faire-passer-cette-idee-et-celle-des-cotisations-sociale_145150/


11) Et si on taxait le travail des robots ?

~2 minutes


Lanceurs d'avenir

Désamorcer la concurrence déloyale entre machines et humains

Mitchell a décidé de s'engager pour plus de justice.

Pour faire sa part et oeuvrer dans ce sens, il s'est intéressé à la question des robots qui remplacent progressivement la main d'oeuvre humaine... «Je ne suis pas contre le progrès (...) mon problème est seulement : que vont devenir toutes les femmes qui saisissaient les feuilles de Sécu ? La Sécu va économiser de l'argent, les Assedic vont payer et les gens seront désespérés. C'est anormal !»

Aussi, Mitchell a décidé d'inventer la cotisation "ROSE" pour «Robots, ordinateurs et systèmes experts».

L'idée : utiliser le bénéfice de cette taxe pour créer des emplois, aider les chômeurs, financer des formations, aider les entreprises à embaucher : "Les robots et machines informatiques crées beaucoup de richesses mais ne payent pas des cotisations sociales. Même travail mêmes cotisations. Plus la concurrence déloyale."

Pour Mitchell, oeuvrer en ce sens est indispensable : "Les valeurs humanistes vibrent en moi. Je ne peux pas accepter l'injustice."

Vous avez aimé ? Partagez cette initiative !

 

https://onpassealacte.fr/initiative.et-si-on-taxait-le-travail-des-robots.93051619776.html#.YzoyyP3oc9M.facebook


ENQUÊTE

12) AC! les guérilleros antichômage

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Kaléidoscope d'associations, le collectif multiplie les opérations coup de poing.

par Olivier COSTEMALLE

publié le 6 février 1996 à 1h43

(mis à jour le 6 février 1996 à 1h43)

Les prochains rendez-vous d'AC!

https://www.liberation.fr/futurs/1996/02/06/ac-les-guerilleros-antichomage_163694/


13) EMPLOI - FORMATION. Réduction du temps de travail: la semaine de quatre jours ou celle de huit jours?

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par Renaud Lecadre

publié le 22 septembre 1997 à 8h33

Pour aller plus loin :

https://www.liberation.fr/futurs/1997/09/22/emploi-formation-reduction-du-temps-de-travail-la-semaine-de-quatre-jours-ou-celle-de-huit-jours_214653/


Travail

14) Le Parlement européen va débattre d’une taxe robot

A la surprise générale, la commission juridique du Parlement européen a adopté un amendement pour la mise en place d’une pénalité financière, peu ou prou la même que propose Benoît Hamon.

La «machine» de la papeterie M-Real, à Alizay (Eure). (Photo Laurent Troude pour Libération)

par Pauline Moullot

publié le 12 janvier 2017 à 16h55

Il y a quelques jours, Mady Delvaux faisait part de son scepticisme à Libération : l'eurodéputée luxembourgeoise doutait d'obtenir une majorité pour sa proposition sur le revenu universel, et avait fait une croix sur la taxe robot, rejetée en débat dans un premier temps. Des «sujets très controversés», expliquait-elle. Ce matin, la commission juridique a adopté son rapport demandant à Bruxelles de réfléchir à l'instauration de règles sur la robotique. Un compromis a été trouvé sur le revenu universel, dont on connaîtra la teneur dans quelques jours. Mais sur la taxe robot, la commission juridique est allée plus loin : le compromis qui avait été trouvé sur le sujet a été rejeté, alors qu'un amendement déposé par l'eurodéputé grec Eleftherios Synadinos (du parti néonazi Aube dorée) a été adopté. «Cela va encore plus loin que ce que nous avions décidé», se réjouit l'entourage de Mady Delvaux. L'amendement appelle clairement Bruxelles à réfléchir à un impôt.

Pour aller plus loin :

https://www.liberation.fr/politiques/2017/01/12/le-parlement-europeen-va-debattre-d-une-taxe-robot_1540928/


Interview

15) Taxe robots, revenu universel : Mady Delvaux, l'eurodéputée luxembourgeoise qui a inspiré Hamon

Revenu universel, la bonne idée ?dossier

Expérimentation pour les jeunes en Haute-Garonne : «C’est vaguement dans l’esprit d’un revenu universel, mais ce n’en est pas un»

 

Pour le président de l’Association pour l’instauration d’un revenu d’existence, le revenu de base pour les jeunes prochainement mis en place en Haute-Garonne est plus catégoriel qu’universel.

Politique30 sept. 2021abonnés

L’Allemagne expérimente son revenu universel

 

Europe2 juin 2021

TRIBUNE

Pour une garantie de l’emploi et non un revenu garanti

 

Tribunes16 févr. 2021

voir tous les articles sur Revenu universel, la bonne idée ?

Le projet du candidat à la primaire s’inspire en grande partie du rapport de Mady Delvaux, eurodéputée socialiste luxembourgeoise, débattu ce jeudi par la commission juridique du Parlement européen.

 

Au QG de campagne de Benoît Hamon, le 9 décembre. (Photo Marc Chaumeil pour Libération)

par Pauline Moullot

publié le 12 janvier 2017 à 9h02

L'eurodéputée socialiste luxembourgeoise Mady Delvaux.Mady Delvaux (photo LSAP) est une eurodéputée socialiste luxembourgeoise. Membre de la commission juridique du Parlement européen, elle a planché sur un projet de rapport sur les règles juridiques concernant la robotique. Entre deux paragraphes sur les voitures sans chauffeur ou la responsabilité civile des robots, son rapport préconise l’instauration d’une taxe robot et d’un revenu universel, sur fond de raréfaction du travail. Un «package» qu’a repris Benoît Hamon, qui a d’ailleurs cité Mady Delvaux sur France 2 le 8 décembre comme étant une des sources d’inspiration de son projet. Alors que le rapport est voté ce jeudi en commission juridique (expurgé de la taxe robot), elle explique à Libération pourquoi ces deux mesures méritent d’être étudiées.

Vous avez entendu parler des idées de Benoît Hamon qui s’inspire de votre rapport pour prôner l’instauration d’une taxe robot ?
Vous préconisez la création d’un revenu universel si des emplois venaient à disparaître à cause des robots. Et la création d’une taxe pour le financer. Comment avez-vous eu cette idée ?
Donc vous avez choisi le scénario pessimiste selon lequel les robots vont supprimer des emplois ?
Si ce scénario ne se réalise pas, il n’y a plus besoin de revenu universel ?
Lors des discussions en commission juridique, le passage sur la taxe robot a d’ailleurs été abrogé…
Vous avez été en contact avec Benoît Hamon ou son équipe ?

16) https://www.liberation.fr/politiques/2017/01/12/taxe-robots-revenu-universel-l-eurodeputee-luxembourgeoise-qui-a-inspire-hamon_154069

 


Éditorial

17) La taxe robot de Hamon soutenue par… Bill Gates

par Christophe Alix, Chef de service Futurs

publié le 20 février 2017 à 20h16

Pour aller plus loin :

https://www.liberation.fr/futurs/2017/02/20/la-taxe-robot-de-hamon-soutenue-par-bill-gates_1549849/


TRIBUNE

18) Retraites : et si on taxait le travail des machines ?

Article réservé aux abonnés

L’automatisation et la numérisation ont permis d’alléger la pénibilité du travail, mais elles ont aussi supprimé des emplois. Ces évolutions nourrissent moins les personnes remplacées que les actions en Bourse. Il est temps de faire cotiser les robots, estime le journaliste et réalisateur Gilles Luneau.

Le robot Atlas de la firme américaine Boston Dynamics peut être l'assistant d'usine ou de chantier. (JLPPA/Bestimage)

par Gilles Luneau, Journaliste, réalisateur

publié le 18 février 2023 à 6h34

La rupture technologique numérique

Pour aller plus loin :

Réforme des retraites

https://www.liberation.fr/idees-et-debats/tribunes/retraites-et-si-on-taxait-le-travail-des-machines-20230218_VKWMSZPAXFEBVKD36R2ZAHOBCM/


19) Benjamin LUCAS POUR UNE COTISATION SUR LES ROBOTS